Travailler ou créer son entreprise en Australie
Clarisse Faria-Fortecoëf
Identifiée comme une des 15 villes "à cibler pour tout changer", Sydney bien qu'étant une destination onéreuse présente quelques atouts pour celles et ceux qui seraient tentés par une mobilité australienne.
Avec 4,6 millions d'habitants dont 30 000 résidents français, une croissance supérieure à 2,5% en 2013 et un taux de chômage de 6 %, Sydney, capitale financière de l'Australie - pays présenté en 2012 comme une destination porteuse en matière d'emploi - fait rêver bon nombre de candidat(e)s à l'expatriation.
Avec des formalités simplifiées dans le cadre de la création d'entreprise, vous pouvez obtenir un visa temporaire d'un an pour vous lancer et cela bien que le pays reste très exigeant en la matière.
Si vous cherchez un emploi et avez une qualification dans les secteurs des nouvelles technologies, de l'informatique, des soins médicaux spécialisés et du conseil, les procédures d'entrée sur le territoire peuvent être accélérées. A noter également, que le recrutement par les entreprises, se fait essentiellement via des cabinets spécialisés dont vous trouverez la liste sur le site SEEK.
Si vous avez moins de 31 ans, vous pouvez opter pour un visa vacances-travail qui vous permettra de chercher "tranquillement" un emploi sur place pendant un an. Vous trouverez toutes les informations utiles sur les différents types et demandes de visa sur le site du Département australien de l'immigration et Auvisa.org.
Reste aussi et cela bien que les salaires à Sydney soient, en moyenne, supérieurs de 15% à ceux de Paris, que la fiscalité n'y est pas favorable et que le coût de la vie y est élevé (loyer, frais de scolarité, etc.).
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter les articles suivants : "Australie : le pays préféré des expatriés est très exigeant en matière de visa" ; "S’expatrier à Sydney : une destination onéreuse mais qui fait rêver".
Ces articles sont extraits respectivement de deux dossiers publiés sur le site de capital.fr le :
Avec des formalités simplifiées dans le cadre de la création d'entreprise, vous pouvez obtenir un visa temporaire d'un an pour vous lancer et cela bien que le pays reste très exigeant en la matière.
Si vous cherchez un emploi et avez une qualification dans les secteurs des nouvelles technologies, de l'informatique, des soins médicaux spécialisés et du conseil, les procédures d'entrée sur le territoire peuvent être accélérées. A noter également, que le recrutement par les entreprises, se fait essentiellement via des cabinets spécialisés dont vous trouverez la liste sur le site SEEK.
Si vous avez moins de 31 ans, vous pouvez opter pour un visa vacances-travail qui vous permettra de chercher "tranquillement" un emploi sur place pendant un an. Vous trouverez toutes les informations utiles sur les différents types et demandes de visa sur le site du Département australien de l'immigration et Auvisa.org.
Reste aussi et cela bien que les salaires à Sydney soient, en moyenne, supérieurs de 15% à ceux de Paris, que la fiscalité n'y est pas favorable et que le coût de la vie y est élevé (loyer, frais de scolarité, etc.).
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter les articles suivants : "Australie : le pays préféré des expatriés est très exigeant en matière de visa" ; "S’expatrier à Sydney : une destination onéreuse mais qui fait rêver".
Ces articles sont extraits respectivement de deux dossiers publiés sur le site de capital.fr le :
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